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Guerre des images: Une vidéo dévoile les supercheries palestiniennes!

Des enfants et des adolescents sont utilisés pour provoquer les soldats israéliens. Mais cette fois, la manipulation éclate au grand jour.

C’est une vidéo qui circule depuis quelques jours sur le net. Elle a été filmée vendredi 15 décembre, à Nabi Saleh, un village palestinien situé à une vingtaine de kilomètres de Ramallah, et rendue publique quelques jours plus tard par les Israéliens. Depuis, elle a déjà été visionnée par plus d’un millions d’internautes.

On y voit deux jeunes filles palestiniennes prenant à partie des soldats de Tsahal impassibles.

 

 

Les deux adolescentes tentent même à plusieurs reprises de frapper les soldats au visage, les bousculent, leur donnent des coups de pied… sans plus de réaction. Les soldats israéliens font preuve d’un étonnant sang-froid.

Identifiée par les forces de sécurité israélienne, l’une des deux sauvageonnes, Ahed Tamimi, a été interpellée par l’armée israélienne et mise en garde à vue dans les locaux de la police. Elle pourrait, ainsi que ses parents, faire l’objet de poursuites judiciaires.

 

 

A son domicile, les Israéliens ont saisi tous les téléphones portables, caméras et ordinateurs qui s’y trouvaient. C’est ainsi qu’ils ont découvert la vidéo : alors que les deux jeunes filles agressaient les soldats, des proches filmaient discrètement la scène, espérant saisir l’instant tant attendu d’une réaction violente des hommes en armes.

Des soldats de Tsahal s’en prenant à des gamines, c’est le genre de séquence dont la propagande palestinienne s’est fait une spécialité. Diffusées sur le net, et aux agences de presse internationales, ces images sont présentées comme des preuves de la cruauté et de la barbarie des Israéliens à l’égard des populations palestiniennes.

Dans le même temps, cette propagande mensongère sert à justifier la violence meurtrière des Palestiniens.

Mais cette fois, le pot-aux-roses a été découvert : la famille Tamimi habite juste en face de l’endroit où a été filmée la scène. Les Tamimi avaient décidé de ne pas diffuser la vidéo, puisque les soldats israéliens étaient restés impassibles.

Mais ils ont commis l’erreur de la conserver. C’est dans ces circonstances qu’elle a été retrouvée lors de la perquisition… et rendue publique.

A peine gêné, Bassam Tamimi, le père de l’adolescente, a protesté sur son compte Twitter.

 

 

Dans ce tweet, M. Tamimi père prétend que sa fille s’est attaquée à un soldat « qui venait de tirer une balle dans la tête d’un enfant »… Sans commentaires.

Il se plaint également du « vol de ses téléphones, caméras et ordinateurs ». Probablement un acte de pillage perpétré par la soldatesque israélienne. Nous invitons Bassem Tamimi à déposer plainte auprès de la justice militaire qui saura rappeler au règlement les soldats dévoyés.

Nul doute que M. Bassem Tamimi sera fort bien reçu. Considéré comme l’un des principaux activistes palestiniens de Nabi Saleh, il est l’un des organisateurs de la plupart des manifestants violentes qui surviennent régulièrement dans le village et ses alentours.

Ce père de famille, qui éduque ses enfants dans la haine des Israéliens, est le premier à les enrôler dans les supercheries médiatiques qu’il met régulièrement en scène.

A ce titre, il peut être fier de sa fille Ahed qui a su faire preuve de talents précoces.

En 2012, Ahed Tamimi, qui était alors âgé de 12 ans, avait acquis une notoriété mondiale grâce à cette scène immortalisée – déjà à l’époque – par les caméras et appareils photos de ses parents.

 

 

Une notoriété qui lui a même valu les honneurs de ce reportage de France 2, intitulé « Ahed Tamimi la nouvelle icône de la résistance palestinienne » :

 

https://www.youtube.com/watch?v=F7WIM0RE_B0

 

« Héroïne ou enfant manipulée ? » S’interroge tout de même le présentateur David Pujadas avant de lancer le sujet que certains ont jugé un rien complaisant.

Le mérite de ce reportage est tout de même de nous permettre de faire connaissance avec la toute la famille Tamimi, parents, oncles… A la manière des montreurs de foires d’antan, ils sont parvenus à monter un véritable business en exploitant l’image de leurs enfants, qu’ils envoient très courageusement défier les soldats.

A l’occasion, ses parents ne rechignent à confier leur petite « icône » aux grands de ce monde pour une photo souvenir qui enrichira son book. En 2014, Ahed a été reçue par le président turc Erdogan.

 

 

Depuis, Ahed Tamimi a grandi…

 

 

… Et continue sa carrière d’égérie de la propagande palestinienne.

 

 

Il suffit de taper « Ahed Tamimi » sur Google pour trouver des centaines de photos et de vidéos de la jeune fille. Ce n’est plus un book, c’est une banque de données.

Mais sa petite saynète du vendredi 15 décembre a peut-être été le sketch de trop.

Celui qui brise une image et ruine une carrière pourtant prometteuse.

 

 

Même l’Agence France-Presse (AFP) semble ne plus mordre aussi facilement à l’hameçon que par le passé. Ce mardi 19 décembre, elle a diffusé cette dépêche :

 

 

Une dépêche pour une fois équilibrée – et clairvoyante –  qui souligne, une fois n’est pas coutume « la retenue » des soldats israéliens.

Si même l’AFP ne tombe plus dans le panneau, c’est peut-être le signe que la ficelle de la désinformation est un peu usée.

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