Présente sur les lieux de la fusillade, la journaliste palestinienne Shatha Hanaysha accuse l’armée israélienne. Sur Twitter, elle tronque les faits, soutient le terrorisme et applaudit lorsque les victimes sont juives.
L'accusation d'« appropriation culturelle » est très à la mode : les dirigeants palestiniens nous en fournissent un bel exemple en instrumentalisant une découverte archéologique pour se fabriquer un passé. Ce subterfuge, qui s'adresse à l'opinion internationale, ne peut fonctionner qu'avec le concours de médias
La mort d’une journaliste d’al Jazeera à Jénine a très vite donnée lieu à des accusations non étayées contre Tsahal. Il n’a pas fallu longtemps avant qu’une partie de la presse, malgré l’absence de preuve concernant ce cas particulier, profite de l’occasion pour incriminer Israël
Et ce n'est pas le seul confrère ayant laissé libre cours à ses penchants sur les réseaux sociaux après la mort de la journaliste d'al Jazeera tuée ce mercredi à Jénine.
L'agence française a annoncé qu'Israël était à l'origine du tir mortel en dépit du fait que l'armée puis le gouvernement israélien ont rapidement réfuté cette affirmation.