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A propos de ces chrétiens « en déclin » en Israël

Les grands médias prétendent souvent qu’Israël est peu accueillant envers ses habitant chrétiens, ce qui aurait pour conséquence une baisse considérable de leurs effectifs. En réalité, c’est le contraire qui est vrai.

 

L’une des méthodes les plus fréquentes de délégitimation d’Israël est de le dépeindre comme un mauvais endroit où vivre pour les non-juifs, et en particulier les chrétiens. Souvent, des Palestiniens chrétiens vont décrire le comportement d’Israël de la même manière que le comportement des Juifs de Jérusalem au 1er siècle est décrit dans le Nouveau Testament. Les Juifs en Israël ont maltraité Jésus à l’époque, et maintenant les Juifs maltraitent ses fidèles contemporains.

A l’appui de ce narratif, les antisionistes manipulent les données sur le nombre de chrétiens vivant dans le pays pour affirmer faussement que la population chrétienne d’Israël « périclite », alors qu’en réalité elle a substantiellement augmenté depuis la guerre d’Indépendance de 1948/49.

Souvent, des journalistes font remarquer que les chrétiens composaient 20% des personnes qui vivaient dans la région qui fait maintenant partie de l’Etat juif et qu’aujourd’hui les chrétiens ne sont que 2% ou moins de la population et que, par conséquent, cette population décroît. Cela insinue qu’Israël, l’Etat juif, est inhospitalier envers les chrétiens et qu’il n’est pas digne du soutien des chrétiens.

 

Dispute foncière entre l’Eglise et Israël : le titre pourrait faire croire à une remise en cause de l’existence des chrétiens en Israël alors qu’il n’en est rien.

 

Le prétendu déclin du christianisme dans l’Etat juif est un thème récurrent qui a été mis en avant dans de nombreux médias tels que la Catholic Near East Welfare Agency (CNEWA), l’Associated Press, Sojourners, National Geographic, et 60 Minutes.

Les chrétiens soucieux d’objectivité qui voudraient répondre à la notion qu’Israël est mauvais pour les chrétiens doivent savoir une chose :

Le nombre de chrétiens natifs de l’Etat juif a augmenté de près de 300% depuis la guerre d’Indépendance.

Le relevé des statistiques d’Israël publié par le Bureau central des statistiques d’Israël rapporte qu’à la fin de 2015, année la plus récente pour laquelle des données sont disponibles, il y avait un total de 164,000 chrétiens vivant dans l’Etat juif. Ce même document rapporte que, parmi ce total, un peu plus de 130,000 de ces chrétiens sont arabes.

Le relevé des statistiques d’Israël rapporte qu’en 1949 il y avait environ 34,000 chrétiens vivant en Israël

Ce chiffre n’a pas été décomposé par ethnicité, mais la grande majorité de ces gens étaient des chrétiens arabes.

Le résultat est qu’entre 1949 et 2015, la population chrétienne native d’Israël a augmenté de 282%. Aucun autre pays du Moyen-Orient n’a connu une croissance similaire de sa population chrétienne native. En fait, certains pays ont subi des pertes catastrophiques durant la même période.

Oui, le pourcentage de chrétiens arabes en proportion à la population d’Israël a décliné depuis 1948, mais cela résulte d’une augmentation des populations juives et musulmanes du pays.

Selon le relevé des statistiques d’Israël pour 2016, un peu plus d’1 million de Juifs et 113,800 musulmans vivaient en Israël en 1949. A la fin 2015, approximativement 6.3 millions de Juifs et 1.5 million de musulmans vivaient dans le pays. (La population des deux groupes avait augmenté de 521% et 193% respectivement.)

Ces augmentations contribuent grandement à expliquer pourquoi une population chrétienne en croissance rapide diminue en proportion de la population totale d’Israël. Aussi rapide soit sa croissance, celle des deux autres groupes est plus rapide encore. Cela ne veut néanmoins pas dire que les chrétiens soient en déclin en Israël – comme des journalistes, des « partisans de la paix » et des activistes des droits de l’homme le déclarent souvent.

 

La bande de Gaza et la Cisjordanie

Une stratégie similaire est utlisée afin de blâmer Israël pour un prétendu déclin des chrétiens en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Le message sur les chrétiens dans les territoires disputés est que leur population décline à cause de l’occupation israélienne. Cela insinue qu’à partir du moment où Israël se retirera des territoires disputés et que les Arabes en auront le contrôle, la vie des chrétiens s’améliorera et leur population rebondira.

Il y a trois problèmes avec ce narratif.

Premièrement, la population des chrétiens de Cisjordanie, de Jérusalem-Est et de la bande de Gaza a baissé entre la guerre d’Indépendance (qui avait abouti sur un contrôle arabe de ces territoires) et la guerre des Six-Jours (qui avait abouti sur un contrôle israélien de ces territoires).

Deuxièmement, la population des chrétiens dans ces territoires s’est stabilisée et a modérément crû depuis la guerre des Six-Jours – malgré le départ de beaucoup de jeunes chrétiens de Cisjordanie et de la bande de Gaza au cours des années.

En d’autres termes, le contrôle israélien sur les territoires disputés a arrêté puis renversé le déclin de la population chrétienne de ces territoires.

Troisièmement, depuis que le Hamas a pris le contrôle de la bande de Gaza après le retrait d’Israël en 2005, la population chrétienne de ce territoire a baissé – elle s’est véritablement effondrée.

Tout ceci s’oppose au narratif selon lequel le contrôle juif d’un territoire est mauvais pour les chrétiens et le contrôle musulman arabe d’un territoire est bon pour les chrétiens. En fait, c’est le contraire qui est vrai.

Voici les nombres de chrétiens vivant en Cisjordanie, à Jérusalem et à Gaza pour les années 1945, 1961, 1967, 1995 et 2007, tirés d’un rapport produit par le Centre des affaires publiques et de l’État (CAPE de Jérusalem) et publié en 2012.

Les données du CAPE ont été compilées à partir de diverses sources, dont le Comité d’enquête anglo-américain, le gouvernement jordanien – qui contrôlait la Cisjordanie jusqu’à la guerre des Six-Jours en 1967 – le gouvernement israélien et le Consortium Diyar, une organisation dirigée par le pasteur luthérien Révérend Mitri Raheb – un vif détracteur d’Israël.

 

Nombre de chrétiens à Jérusalem, en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, par année

1945: 59,160

1961: 45,849

1967: 42,494

2007: 51,710

 

Ces chiffres révèlent qu’il y a eu une chute du nombre de chrétiens dans les territoires sous contrôle arabe après la guerre d’Indépendance durant laquelle les Egyptiens ont pris le contrôle de la bande de Gaza et les Jordaniens ont contrôlé la Cisjordanie. Ce déclin a été renversé dans les années qui ont suivi la guerre des Six-Jours, durant laquelle Israël a pris le contrôle de la bande de Gaza et de la Cisjordanie. Des chiffres fiables pour les années postérieures à 2007 sont difficiles à obtenir, mais les données ci-dessus réfutent clairement la notion selon laquelle les politiques israéliennes auraient causé une chute de la population chrétienne dans les territoire disputés.

La population chrétienne a baissé de 29% sous autorité jordanienne et égyptienne (musulmane) et augmenté de 22% depuis qu’Israël a pris le contrôle de la Cisjordanie lors de la guerre des Six-Jours.

Même le Consortium Diyar précédemment mentionné a dû admettre que la population de chrétiens palestiniens dans les territoires disputés avait augmenté, bien que légèrement, sous contrôle israélien. Dans un rapport de 2012, cette organisation antisioniste a déclaré que « l’effectif de la population chrétienne a très légèrement grandi pendant les 50 dernières années. »

Et pourtant, journaliste après journaliste déclare que la population chrétienne dans cet territoires baisse à cause des politiques d’Israël !

 

Bande de Gaza

Alors que la bande de Gaza est comprise dans les chiffres ci-dessus, il faut noter que le nombre de chrétiens dans ce territoire n’est pas très élevé. Un recensement israélien mené en 1967 a compté 2,478 chrétiens. En 2014, une organisation caritative anglaise appelée “Embrace the Middle East” a mené une enquête qui a révélé que la population chrétienne de Gaza totalisait 1,313 personnes, indiquant que la population de chrétiens dans cette région avait baissé de 47% au cours des cinquante dernières années.

En fait, le déclin pourrait même être plus prononcé parce qu’en 2006, l’année avant la prise de contrôle du territoire par le Hamas dans une violente guerre civile, le Centre oecuménique de Théologie de la Libération Sabeel a estimé que 3,000 chrétiens vivaient dans la bande de Gaza. L’estimation de Sabeel renforce l’hypothèse selon laquelle la population chrétienne s’est rétablie sous contrôle israélien et le déclin enregistré par “Embrace the Middle East” indique que les populations chrétiennes diminuent sous contrôle arabe et musulman.

 

Les chrétiens dans le reste de la région

 

Un article de l’Agence France-Presse insinuant qu’Israël fait disparaître les chrétiens du Golan; au moment même où, dans la Syrie voisine, ils font face à des forces génocidaires…

 

Par comparaison, les chrétiens ont vécu des moments terribles dans le reste du Moyen-Orient. C’est particulièrement vrai en Egypte, en Irak et en Syrie. L’Iran est un autre pays dans lequel les chrétiens (et d’autres minorités religieuses) sont brutalement maltraités.

Les deux pires endroits où être un chrétien au Moyen-Orient sont l’Irak et la Syrie. Le 16 mars 2016, le secrétaire d’Etat américain d’alors John Kerry a déclaré que l’Etat islamique en Syrie et au Levant (EI) était coupable du crime de génocide contre les chrétiens, les yézidis et les musulmans chiites dans ces pays. L’EI, a-t-il dit, « affirme lui-même qu’il commet des génocides, des faits confirmés par son idéologie et par ses actions. » Kerry déclarait aussi que l’EI « tue les chrétiens parce qu’ils sont chrétiens, les yézidis parce qu’ils sont yézidis, les chiites parce qu’ils sont chiites. »

L’impact de la violence djihadiste contre les chrétiens dans ces deux pays a été brutal. Un article du New York Times publié le 22 juillet 2015 décrivait la violence de l’EI contre les chrétiens (et les yézidis). Viols, massacres et fosses communes étaient monnaie courante. Les femmes de ces minorités étaient vendues comme esclaves sexuelles par l’EI, dont les actions étaient très similaires aux atrocités perpétrées contre les Arméniens, les Assyriens et les Grecs pontiques dans la péninsule anatolienne entre 1915 et 1922.

Résultat de cette violence, les chrétiens d’Irak pourraient bientôt avoir complètement disparu si aucune aide ne leur vient, rapporte Andrew Walther des Knights of Columbus, une organisation catholique qui s’occupe des communautés chrétiennes en danger au Moyen-Orient. « Le christianisme en Irak est au bord de l’extinction. Ils sont passés de 1.5 million de personnes à moins de 200,000, » a dit Walther en août 2017.

Un déclin similaire s’est produit en Syrie. Avant le début de la guerre civile en 2011, il y avait environ 1.5 million de chrétiens vivant en Syrie. En mars 2016, l’évêque chaldéen catholique Antoine Audo rapportait que ce nombre avait baissé à 500,000.

Dans un effort pour empêcher l’effondrement du christianisme en Irak, des activistes prônent l’établissement d’une province des Plaines de Ninive. Ils espèrent que cette province, qui servirait de foyer aux minorités religieuses et ethniques d’Irak (y compris les Yézidis) jouera un rôle similaire à celui qu’Israël a pour les Juifs au Moyen-Orient – procurer dignité et sécurité à des groupes humains auparavant en danger dans la région.

Il y a aussi le cas de l’Egypte, où les chrétiens ont été la cible de violences djihadistes depuis des siècles. Les choses ont commencé à vraiment mal tourner dans les mois précédant le renversement du président égyptien Hosni Mubarak et son remplacement par Mohammed Morsi, des Frères musulmans, pendant le Printemps arabe qui eut lieu en 2011. Peu après minuit le 31 décembre 2010, des terroristes ont fait exploser des bombes dans l’Église des Deux Saints à Alexandrie, tuant plus de vingt chrétiens coptes qui assistaient à la messe de Nouvel An dans l’église.

Alors que Morsi était installé dans les bureaux de la présidence puis ensuite renversé, les chrétiens devenaient la cible de choix des salafistes ou des musulmans extrémistes dans le pays et la violence se poursuit aujourd’hui même si l’actuel président Abdel Fattah al-Sissi tente de contrôler les djihadistes. Les églises chrétiennes et leurs paroissiens sont la cible de fréquentes attaques à la bombe.

Des chrétiens coptes d’Egypte qui travaillaient en Lybie ont été assassinés en masse en 2015 et, en mai 2017, 28 chrétiens coptes étaient assassinés alors qu’ils voyageaient en bus vers un monastère dans le désert égyptien. Dans les mois précédents, deux églises étaient la cible d’une attaque à la bombe qui occasionnait la mort d’une cinquantaine de personnes.

Les chiffres sont difficiles à obtenir, mais de nombreuses sources indiquent que 100,000 chrétiens coptes ont quitté le pays pour la seule année 2011. « Personne ne compte ceux qui quittent le pays, ni du côté copte ni de celui de nos ambassades à l’étranger, donc tout n’est que suppositions, » a dit Ahmed el-Qoasni, ancien ministre assistant des Affaires étrangères pour les Egyptiens de l’étranger, au journal The Telegraph en 2013.

Les chrétiens et les autres minorités religieuses, comme les bahaïs, sont aussi gravement maltraités en Iran, sans guère de condamnations de la part des institutions qui soutiennent le narratif d’après lequel « Israël est mauvais pour les chrétiens. » Selon un rapport émis en 2016 par le département d’Etat américain sur la liberté de culte en Iran, les chrétiens, et en particulier les évangélistes, sont sujets à des arrestations et des emprisonnements. Des chrétiens utilisant le vin pour la communion ont été arrêtés.

 

Un traumatisme ignoré

La violence musulmane à l’encontre des chrétiens au Moyen-Orient n’est pas un phénomène nouveau, mais un aspect persistant de l’histoire dans la région. L’une des flambées de violence les plus connues eut lieu dans la péninsule anatolienne entre 1915 et 1922. Les fondateurs de l’Etat moderne de Turquie, les Jeunes Turcs, ont assassiné environ 1.5 million de chrétiens arméniens, 250,000 chrétiens de langue syriaque et entre 450,000 et 750,000 chrétiens grecs. Cela fait entre 2.2 et 2.5 millions de morts.

Ces massacres, qui ont communément été décrits comme le génocide arménien (bien qu’une partie significative des victimes n’étaient pas des Arméniens), ont eu un énorme impact sur les chrétiens du Moyen-Orient, les laissant avec une atteinte psychologique et spirituelle durable qui affecte aujourd’hui les descendants des survivants.

Ces dégâts sont documentés dans un texte très important et qui fait autorité, « Let Them Not Return: Sayfo – The Genocide against the Assyrian, Syriac and Chaldean Christians in the Ottoman Empire » (Ne les laissez pas revenir : Seyfo – le génocide contre les chrétiens assyriens, syriaques et chaldéens dans l’Empire ottoman) édité par David Gaunt, Naures Atto et Soner O. Barthoma (Berghahn, 2017).

Dans ce texte, Önver A. Cetrez écrit que les victimes assyriennes du génocide (appelé « le Seyfo » ou « le Sabre » en assyrien) souffrent de (et transmettent aux générations suivantes d’Assyriens) sentiments de méfiance et de peur. Une partie de la méfiance est motivée par le silence du monde sur le génocide qui limite les capacités des Assyriens à « exprimer et articuler les sentiments traumatiques d’une manière linguistiquement constructive. » Les Assyriens souffrent aussi d’une peur persistante de l’annihilation qui ébranle leur capacité à tisser des liens avec des personnes externes à leurs familles.

Malheureusement, le traumatisme se répète aujourd’hui, un fait que certains journalistes obsédés par Israël préfèrent ignorer.

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Source : « About those ‘dwindling’ Christians in Israel », The Jerusalem Journal, 27 septembre 2017

Auteur : Dexter Van Zile, analyste des médias chrétiens pour le Committee for Accuracy in Middle East Reporting in America (CAMERA).

Traduction française : © InfoEquitable. Si vous souhaitez reproduire cet article, merci de demander ici une autorisation écrite préalable.

Derniers commentaires
  • Il faudrait cesser de faire de Jésus, Marie et Joseph, des chrétiens : ILS SONT NES JUIFS ET MORTS JUIFS et quand on touche le cheveu ou la vie d’un juif, ce sont eux que nous atteignons.
    Alors BASTA et essayons de nous aimer les uns les autres.
    Pel

  • Le terme « Cisjordanie » est impropre et est tout simplement scandaleux. Il désigne en français la Judée et la Samarie à partir de l’époque de l’invasion Jordanienne (1948).

    Dommage car le reste de l’article est captivant.

    • Mais je précise que ce n’est pas le fait d’Info-Equitable, cette boulette. Elle provient de l’article original qui parle de « West Bank » pour désigner la Judée et la Samarie.

      La traduction correcte de « West Bank » est « la Rive Occidentale », ce qui est l’équivalent en français de « la Cisjordanie ».

        • Je comprends et respecte votre choix, même si les mots « West Bank » et « Cisjordanie » sont utilisés pour désigner la Judée et la Samarie maladroitement. Il peut arriver, en effet, que des auteurs utilisent les mots « Cisjordanie » ou « West Bank » dans le but de faire passer un message politique précis niant l’Histoire du peuple juif et les liens qui le lient à cette terre. Il arrive également que des auteurs utilisent cette appellation sans vouloir passer, à travers elle, ce type de message.

          Je ne crois pas du tout que l’auteur de l’article et le CAPE voulaient faire passer un tel message. Le sens du propos n’est donc pas trahi en éditant une coquille, pas plus que lorsque l’on corrige une faute d’orthographe.

          Il est aussi, en effet, possible d’apporter la précision dans une annotation, ce que peut faire le site d’origine ou le site de relais. Rien n’est pire que de laisser l’erreur se diffuser sans mot dire, car c’est une façon de l’accepter et de participer à la diffusion de ces mots avec tout ce qu’ils impliquent.

          Une guerre est menée contre Israël depuis sa renaissance. Une guerre par les armes, mais aussi par les mots et par la falsification historique. Soit on regarde passivement sans intervenir, soit on intervient parce qu’on ne peut pas laisser les mots pervertir les esprits. J’ai choisi d’intervenir.

          • Les infos véhiculent des informations, et c’est pour ça qu’il faut se battre pour qu’elles soient honnêtes. Il en va de même pour les mots, qui eux aussi véhiculent des informations.

          • Vous pouvez compter sur mon entier appui à votre commentaire initial et répliques cher ami.

            Il est grand temps que, Info Equitable, soit plus sensible et juste sur les termes employés dans les publications de billets.

  • Dire que les chrétiens sont maltraités par Israël est de la même veine que ce qui se dit ou se sous-entend en ce moment, que les lieux appartenant aux différentes religions monothéistes seraient mieux protégées dans une Jérusalem sous administration palestinienne que sous administration israélienne.
    On a vu ce qui est arrivé au kotel sous administration jordanienne

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