Un journaliste palestinien explique comment l’organisation terroriste recrute les enfants pour servir de boucliers humains.
C’est un reportage édifiant que vient de diffuser l’agence de presse israélienne TPS.
Pour la première fois, un journaliste palestinien raconte en détail les méthodes de recrutement du Hamas dont il a été lui-même témoin à Gaza.
Depuis le début, il y a plus d’un an, de l’opération « marche du retour », organisée tous les vendredis devant la barrière qui sépare Israël de Gaza, plus de 200 Palestiniens – dont des dizaines de mineurs – ont été tués selon les bilans palestiniens, lors des affrontements avec l’armée israélienne qui ont aussi coûté la vie à un soldat israélien.
Mais que font ces mineurs – dont de très jeunes enfants – au milieu de ces émeutes qui n’ont rien d’une manifestation pacifique ?
Témoignant le visage flouté et la voix modifiée pour éviter les représailles, le journaliste palestinien brise la loi du silence observée par les médias occidentaux – notamment français – et raconte :
« J’ai vu de mes propres yeux des hommes du Hamas entrer au domicile de familles pauvres à Gaza. Ils leurs donnaient une aide en nature ou même de l’argent. Ils demandaient à ces gens d’aller se rassembler à un point de rendez-vous dans Gaza, puis ils faisaient monter les enfants dans des bus pour les amener à la frontière entre Gaza et Israël. Et je le répète avec insistance : ils recrutaient essentiellement des enfants de moins de 12 ans. »
Une fois sur place, ces enfants sont envoyés en première ligne face à l’armée israélienne pour servir de boucliers humains, comme l’explique cet officier israélien :
« Notre plus grand problème, c’est de faire face aux enfants. »
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« A chaque émeute il y en a des centaines, pour ne pas dire des milliers. Ils sont envoyés en première ligne sur instruction et sous la surveillance des plus âgés », poursuit l’officier de Tsahal.
« Pour les adultes c’est beaucoup plus difficile de s’approcher de la barrière, car ils savent qu’ils sont les premiers à être la cible de nos tirs. Ils restent toujours derrière le périmètre de sécurité. Derrière la ligne que nous avons fixée et à partir de laquelle nous sommes en droit de tirer.
Et depuis leurs positions, ils envoient les enfants vers la barrière pour escalader les monticules, lancer des projectiles avec leurs frondes et des engins explosifs. Pour cisailler la barrière avec des pinces coupantes… Nous voyons ce genre de choses régulièrement. »
Le journaliste palestinien livre d’autres détails sur l’organisation de ces émeutes et sur le rôle dévolu aux enfants :
« J’ai moi-même été témoin de cette scène : des leaders du Hamas apportent des chaises et s’installent à un kilomètre de la barrière. Ils croquent des graines en regardant les gens mourir.
Le but est de manipuler l’opinion publique. Car en général, les gens pensent que nous protégeons nos enfants. Le Hamas exploite ensuite la situation pour proclamer que les Israéliens assassinent nos enfants.»
« Et savez-vous à quelles périodes le Hamas déploie au maximum ses efforts pour enrôler les enfants ? Quand chaque mois arrive l’argent liquide apporté par Amedi, l’émissaire du Qatar.
Tout cela, c’est pour pouvoir dire au monde entier que l’armée israélienne tire sur les enfants et les tue », conclut le journaliste.
Ce témoignage est corroboré par Eli Bogdan, le directeur de « My Truth », une organisation israélienne qui défend les droits moraux des soldats de Tsahal.
« Nous avons recueilli plusieurs témoignages de soldats de la brigade Givati, de soldats des unités de renseignement, qui ont témoigné de la manière très organisée dont le Hamas amène ces enfants à bord de dizaines de bus. Ce ne sont en rien des émeutes spontanées. Ils amènent aussi des vieux, des handicapés, des personnes malades… Ils vont chercher les enfants aussi à la sortie de l’école, ou les gens à la mosquée après la prière du vendredi… Tous sont envoyés le plus près de la barrière pour couvrir des activités terroristes.
Ce sont bien des activités terroristes. Ce ne sont pas que des jets de pierre. Il y a des jets de cocktails molotovs qui sont très dangereux, des jets de grenades.
Un des soldats israéliens a témoigné que lors d’une émeute, il avait dans son viseur un homme du Hamas qui s’approchait avec une grenade. Lorsque le type du Hamas s’est rendu compte qu’il était dans la ligne de mire du soldat, il s’est saisi d’un enfant palestinien qui était à côté de lui, l’a plaqué contre son corps et s’en est servi comme d’un bouclier humain. »
Pour Yifa Segal de l’ONG International Legal Forum, l’enrôlement des enfants par le Hamas constitue un « crime de guerre ».
« L’utilisation de ces enfants – mais aussi de personnes âgées ou de handicapés – contreviennent bien sûr aux conventions internationales et constituent des crimes de guerre. Les organisations terroristes le savent très bien. Elles exploitent cette situation de manière totalement cynique. »
TPS souligne qu’elle s’est adressé au ministère de l’Education à Gaza pour recueillir son point de vue sur ces pratiques. Le ministère n’a pas répondu.
Voilà , nous tenions à porter à votre connaissance ce remarquable reportage car nous avons le très fort sentiment que l’interview de ce journaliste palestinien ne sera JAMAIS diffusée dans les médias français.
Nous en voulons pour preuve cet article du Monde, paru en mars dernier pour le premier anniversaire de la « marche du retour ».
La « marche du retour » y est décrite comme une manifestation ausssi aussi spontanée que pacifique.
L’armée israélienne y est présentée comme l’unique responsable des morts et des blessés occasionnés.
L’article ne dit pas un mot sur l’utilisation des enfants par le Hamas.
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Damran / 26 juillet 2019
Merci pour ce formidable reportage qui ne sera jamais diffusé par l’Agence Françe Propagande qui déverse ses Infaux sur les médias français qui ne se donnent même pas la peine de les contrôler et de les recouper.
Les torchonistes préfèrent faire des copier-coller de la désinformation organisée aux plus hauts sommets de l’état français, et les imprimer, d’où l’unanimisme constaté récemment au sujet du « racisme » de Trump.
Pourquoi ne pas envoyer ce superbe reportage à la dégénérée qui a répondu de façon condescendante et hautaine a votre interpellation au sujet du mur, Infaux entièrement bricolée par une collabo qui a dû être formée chez sa cousine Al Jazira ?
Enfin’, pourquoi ne pas créer une rubrique dans le style du jeu des 7 erreurs qui permettra de mettre à mal le paquet d’inepties rédigées dans chaque depeche de l’Agence Françe Propagande, dès lors qu’il s’agit d’Israel ou de son allié américain ?
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Danielle hollard pontvianne / 26 juillet 2019
Je le sais depuis longtemps et helas ça fait le bonheur des antisemites
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Delaye / 6 décembre 2019
« Les femmes et les enfants d’abord »… Ce cri chevaleresque notamment en cas de naufrage… a un tout autre sens dans les pays arabes (je l’ai CONSTATÉ « de visu » en Afrique du nord. Là il consiste a mettre en tête de toute manifestation à risques, les femmes et les enfants – les hommes derrière – dans un triple but:
1) espèrer que les forces opposantes ne tireront pas ou hèsiteront à le faire
2) Si elles le font, pouvoir hurler à l’abomination et ameuter l’opinion publique internationale
3) faire réaliser par femmes ET enfants des provocations véritables voire des agressions physiques (y compris mortelles) sur les opposants.
Tout est bon (comme dans le cochon ?)
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dov kravi דוב קרבי / 26 juillet 2019
Gageons que ce reportage paraîtra bientôt : Arte et France2 se déchirent pour en obtenir les droits.
BRAVO.
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Eric / 27 juillet 2019
Qui est coupable, celui assis sur une chaise même fût-il du Hamas ou du cirque du soleil, ou bien ceux qui tirent sur les enfants ?
Un problème pour Israël ? Cela ne l’a pas été longtemps, si un jour cela en a été un…
Massacrer des civils est devenu le métier de ces courageux soldats armés comme des porte-avions face à des civils…
C’est le courage israélien… de grands guerriers !
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InfoEquitable / Auteur / 27 juillet 2019
« Des civils » ? Vous êtes sûr ? https://www.terrorism-info.org.il/en/examination-list-fatalities-return-marches-reveals-operatives-terrorist-organizations-half-affiliated-hamas/ Le cirque du soleil veut offrir du rêve au public; le Hamas, lui, veut éliminer le peuple voisin – et il est prêt pour cela à aller jusqu’au sacrifice de ses propres enfants. Si vous pensez que ça se vaut, on aura du mal à tomber d’accord…
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Philippe / 13 août 2019
Un peu simpliste, pourquoi tant de haine ?
Les ténèbres ne peuvent se dissiper par elles-mêmes. C’est la lumière qui les chasse.
De même la haine ne supprime pas la haine. Seul l’amour y parviendra.
C’est là la beauté de la non-violence : libre d’entraves, elle brise les réactions en chaîne du mal.
Martin Luther King
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Delaye / 6 décembre 2019
Combien de glorieuses victoires arabes (à 100 contre un pourtant) contre ces lâches soldats israeliens ?
Alors j’attends !
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Delaye / 6 décembre 2019
Celui qui, assis sur une chaise, les ENVOIE en toute conscience.. Évident pourtant.
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Alex / 8 décembre 2019
Pauvre type!!!!!!
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ALFRED / 18 mai 2021
Je veux juste comprendre depuis quand il y avait un pays qui s’appelait PALESTINE. Avant mr YASSER ARAFAT, {1967} NOMMEZ MOI UN PRESIDENT, UN PREMIER MINISTRE, UNE CAPITALE, UNE MONNAIE ETC, nada. Ce soi disant peuple est une création du KGb. Le dictionnaire LAROUSSE des années 1930 et avant décrivait la Palestine avec une étoile de David. ALLEZ VOIR LA VERITE EST LA.
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Roland / 27 mai 2021
J’aime quand on cite « 200 morts civils » à Gaza. Soyons clairs, les « combattants » du Hamas qui sont tués ne sont pas en uniforme, donc mort, cela devient un civil. CQFD. Ensuite ils mettent leurs enfants en première ligne, puis ils se lamentent. Tertio : qui vérifie les chiffres des morts qu’ils avancent…PERSONNE.
J’aime aussi, ces Palestiniens qui clament leur victoire, en hurlant, avec plein de bâtiments démolis…Ils n’avaient qu’à ne pas commencer en envoyant en premier des roquettes sur Israël. Quel pays au monde accepterait cela, sans réagir? Trouvez m’en un…
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