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M6 : Enquête Exclusive sombre dans le révisionnisme

Dimanche 18 décembre, M6 a diffusé le documentaire « Jérusalem, quand la ville sainte se déchire. » Il est déplorable qu’une présentation révisionniste de l’histoire ait été proposée au public. InfoEquitable a visionné l’émission.

Force est de constater que le récit historique entourant l’émission était faux. L’émission de M6 induit le public en erreur. InfoEquitable a donc écrit à M6 et vous tiendra au courant d’autres actions en préparation.

 

Le terrorisme palestinien justifié

Bernard de la Villardière est allé à la rencontre de différentes parties du conflit. Il n’a pas caché que les Israéliens étaient victimes du terrorisme palestinien, ce qui les pousse par exemple à prendre des cours de « krav maga » (self defense). Malheureusement, la sélection des faits présentés revient selon nous à justifier terrorisme. Ainsi, après avoir informé sur le statu quo en vigueur interdisant aux Juifs de prier sur le Mont du Temple, lieu le plus sacré de leur religion, il explique :

En septembre 2015, c’est la provocation de trop. Lors du nouvel an juif, un important groupe est autorisé à pénétrer sur l’esplanade. Les Palestiniens se révoltent, c’est le début de l’intifada des couteaux.

Pas un mot sur l’incitation à la haine pourtant bien documentée en provenance de la société palestinienne. Si Bernard de la Villardière n’a pas connaissance de ces éléments, nous les lui communiquerons volontiers.

La toute petite minorité de Juifs souhaitant, à l’encontre même de leur propre gouvernement, construire un troisième Temple est tenue pour l’un des principaux responsables des violences alors même que, comme le montre l’émission, la police israélienne leur interdit de prier sur ce lieu saint. Cela reprend exactement le récit des mouvements arabes dont l’Autorité palestinienne qui ont utilisé ce prétexte pour attiser les flammes de l' »intifada ». Et ce n’est pas nouveau, puisque déjà en 1929 (une époque que l’émission exclut de sa recherche, de peur de dévoiler des racines du conflit bien antérieures à l’indépendance d’Israël ?), plus de 60 Juifs furent massacrés à Hébron au faux prétexte que les Juifs « planifiaient d’attaquer la mosquée d’Al-Aqsa ». Mahmoud Abbas lui-même repris cette calomnie quelques jours avant ladite « intifada des couteaux » dans une vidéo incendiaire et violemment antisémite où il appelait au meurtre de Juifs pour défendre Al-Aqsa… Fermer les yeux sur cette réalité est une faute dans le reportage de M6.

 

Abbas : nous ne permettrons pas aux Juifs avec leurs "pieds sales" de "souiller notre Mosquée d'Al-Aqsa". "Nous bénissons chaque goutte de sang... qui a été versée pour Allah" - TV officielle de l'Autorité palestinienne, 16 septembre 2015 (quelques jours avant le début des attentats)

Abbas : nous ne permettrons pas aux Juifs avec leurs « pieds sales » de « souiller notre Mosquée d’Al-Aqsa ». « Nous bénissons chaque goutte de sang… qui a été versée pour Allah » – TV officielle de l’Autorité palestinienne, 16 septembre 2015 (quelques jours avant le début des attentats)

 

Bernard de la Villardière rencontre même le père d’un de « ces terroristes déterminés à tuer des Juifs » (la posture étant donc de reconnaître l’existence du terrorisme… puis de le « comprendre » ou l’ « expliquer ») ! Le père fera plus tard dans le reportage l’éloge de son fils : « il joue (sur une photo) avec les enfants, c’est un vrai clown ». Certes, mais il a commis des meurtres et cela ne semble pas interpeller son père ni susciter de réprobation de la part du journaliste.

 

Les « colonies »

Si la réprobation manque face au terrorisme, c’est parce que les Juifs sont présentés comme des « colons » – des gens qui s’accapareraient les terres d’autrui : ce prisme, aligné il est vrai sur la position de l’AFP et du Quai d’Orsay (mais aussi sur le Fatah et le Hamas…) rend les Juifs responsables du terrorisme qu’ils subissent, devenu une « résistance ».

Bernard de la Villardière assène donc que « ces Juifs qui s’installent chez les Arabes sont appelés des colons ». Un terme qui n’est jamais appliqué à un Arabe s’installant du côté Israélien de la ligne d’armistice de 1949 (20% de la population) et qui délégitime toute présence juive dans les territoires jadis occupés par la Jordanie, et conquis par Israël après l’agression par trois armées arabes en 1967. Il est difficile de reprocher à Bernard de la Villardière ce biais tant il est répandu en France, mais nous pensons que ce terme (rappelant en outre les colonies françaises et notamment l’Algérie où la France était  un envahisseur) n’est pas adapté pour décrire la présence de Juifs sur une terre où ils ont une longue histoire, pré-datant les invasions perses, romaines et… arabes.

Mais aujourd’hui, beaucoup de Juifs extrémistes ne veulent pas uniquement conquérir les parties musulmanes de Jérusalem-Est. Dans l’ensemble de la Cisjordanie, les colons seraient déjà plus de 400,000.

Le reportage pose ainsi les Juifs en conquérants, alors que sans la conquête arabe de Jérusalem en 637 et les occupations par des conquérants arabes et Ottomans, il n’y aurait pas de présence musulmane dans la région. Ne pas donner ce contexte permet de présenter les habitants de la Judée-Samarie comme des extrémistes, en occultant qu’une partie importante de la population musulmane est précisément extrémiste et veut « conquérir la Palestine de la mer au Jourdain », c’est à dire éliminer Israël.

 

L’énorme mensonge des cartes : M6 réécrit l’histoire

La plus grosse contre-vérité proférée par Enquête Exclusive intervient dans la 9ème minute :

En 1947, pour apaiser les tensions, les Nations unies ont séparé la région en deux. Israël voit alors le jour. La Jordanie, elle, cède un bout de son territoire : la Cisjordanie. Cela doit devenir le futur Etat palestinien.

Ce récit est FAUX.

L’émission présente une carte pour illustrer le partage:

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Cette carte saute une étape, celle du Plan de partage de 1947 :

 

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Les frontières du plan de partage étaient bien différentes mais, dès son annonce, les armées coalisées des pays arabes frontaliers ont décidé d’attaquer Israël pour empêcher l’avènement d’un Etat juif. Israël faillit être annihilé par cette attaque mais sut résister; c’est ainsi que fut conclut en 1949 un armistice, au terme duquel les région de Judée et de Samarie situées à l’est de la ligne d’armistice furent occupées par la Jordanie qui avait envahi ce territoire, la bande de Gaza étant occupée par l’Egypte. Le reste du territoire fut conservé par Israël au terme de cette guerre défensive.

M6 vient nous raconter que « la Jordanie céda en 1947 un bout de son territoire » ?? Confondre « céder » et « occuper », c’est un sérieux problème pour une émission d’information !

Dire dans la foulée que la Cisjordanie en 1947, qui n’existait pas jusque là et est sur le point d’être occupée pendant 19 ans par la Jordanie sans que personne n’y trouve rien à redire, « doit devenir le futur Etat palestinien », est un anachronisme.

Ou M6 est très mal informée, ou c’est plus grave, car le mensonge qui suit est l’argument parfait pour créer de l’antisémitisme en France, en accusant Israël – l’Etat juif – de maux que les Arabes ont en fait commis :

Mais en 1967, Israël entre en guerre contre ses voisins et annexe la Cisjordanie. C’est le début de l’occupation des territoires palestiniens.

Du pur révisionnisme, appuyé par une image honteuse :

 

 

Il faut un gros aveuglement pour avoir omis de ces images les colonnes de blindés des armées syrienne, égyptienne et irakienne qui s’étaient une nouvelle fois ruées sur Israël pour le détruire.

 

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Et les mensonges continuent : Israël n’annexa pas la Cisjordanie en 1967 et ne l’a toujours pas fait puisque ce territoire est régi par les accords d’Oslo qui le découpent en trois zones jusqu’à ce qu’un règlement soit trouvé d’entente entre les deux parties. Que le reportage ne fasse pas la moindre mention des accords d’Oslo est un manque de contexte crucial. Mais comment soutenir sinon le récit de l’ « occupation des territoires palestiniens » ? La majorité de la population arabe palestinienne vit en effet dans la zone A définie par ces accords, sous contrôle civil et militaire palestinien.

Accuser Israël d’avoir déclenché une guerre qui fut en réalité la deuxième guerre d’annihilation mené contre ce pays en 20 ans est une désinformation majeure.

InfoEquitable pense qu’une rectification de cette erreur à l’antenne sur M6 est nécessaire si la chaîne souhaite respecter les standards journalistiques éthiques.

Toutes ces inexactitudes amènent le commentaire suivant :

Depuis, les colons mettent de l’huile sur le feu et n’hésitent pas à tenir des propos incitant à la violence.

Et la rédaction de donner a parole à un « colon » (donc un usurpateur du territoire, ce qui se veut prouvé par tous les « faits » juste énoncés) qui tient des mots très durs contre les Arabes : une technique médiatique pas très juste consistant à prendre un personnage à tendance extrémiste (comme il s’en trouve dans tous les pays) et à le faire passer pour représentatif de sa société.

L’absence de référence aux accords d’Oslo permet de relayer encore un véritable mythe de la propagande palestinienne :

En 70 ans, les territoires palestiniens ont fondu comme neige au soleil.

Une animation appuie ce récit, où l’on voit le territoire de la « Cisjordanie » fondre avec les années jusqu’à ce qu’il n’en reste que quelques confettis.

 

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Sauf qu’il y a 70 ans, il n’y avait pas de « territoires palestiniens » ! Ces terres, juives dans l’antiquité, furent dans des temps plus récents ottomanes, britanniques, puis jordaniennes sous l’occupation de ce pays. Jamais il n’y eut de peuple palestinien, une invention des années 60 destinée à créer un récit arabe pour s’opposer à Israël. Et l’utilisation de cette carte ainsi commentée est une tromperie : les « confettis » sont en réalité les toutes premières zones administrées par une entité « palestinienne » : il s’agit de la zone A gérée par l’Autorité palestinienne en vertu des accords d’Oslo, ces accords dont le reportage ne mentionne pas l’existence.

 

L’Esplanade des mosquées, terminologie biaisée

Tout au long de l’émission, le lieu saint principal de Jérusalem a été appelé « Esplanade des mosquées », selon l’appellation islamisée du Mont du Temple. En conformité certes avec la vision révisionniste de l’histoire promue par les pays musulmans et honteusement soutenue par la France à l’Unesco et à l’ONU… mais en contradiction totale avec l’Histoire, puisque c’est sur le Mont du Temple, où se tinrent autrefois deux temples juifs, que furent édifiés le Dôme du Rocher et la mosquée al-Aqsa (ce qui tout au plus en ferait l’esplanade « de la mosquée », mais pas « des mosquées »). Le narratif de l’émission le reconnaît d’ailleurs lorsqu’il dit « l’édifice sacré (le Mont du Temple) était construit sur l’actuelle Esplanade des mosquées » et « malgré la réalité historique, jusqu’à ce jours, les autorités musulmanes – le Waqf – refusent de reconnaître l’existence du Temple juif. ». Mais alors à quoi rime l’utilisation systématique de l’appellation islamisée à travers le reportage ?

L’avantage d’avoir interviewé Raed Salah, chef de la branche nord du Mouvement islamique en Israël et déterminé à éliminer Israël, est d’avoir montré chez lui les « Mourabitat » actives sur le lieu saint. C’est rare, à la télévision française, et l’émission a bien qualifié de « harcèlement » les activités de ces femmes dont le rôle des de « perturber par tous les moyens possibles les incursions des Juifs sur l’Esplanade des mosquées ».

Le reportage s’arrête plus tard sur le cas de Silwan, un quartier arabe de Jérusalem. Silwan ? Un nom dérivé de Shiloah (Siloé), mentionnée déjà dans la Bible. Si le reportage donnait ce détail, on comprendrait mieux pourquoi Israël entreprend des fouilles sur ce territoire. La parole est néanmoins donnée uniquement aux habitants arabes du quartier, qui allèguent que les fouilles endommagent leurs maisons et qu’il s’agit d’un « stratagème juif pour s’emparer des terres des Arabes ». Eux s’y connaissent pourtant en stratagèmes, puisque l’une des techniques empruntées par les Arabes à Siloé pour empêcher les fouilles susceptibles de révéler le passé est la construction de fausses tombes musulmanes verrouillant le terrain…

 

New Tombstones above Pool of Siloam.

 

Cela, l’émission ne le montre pas, préférant faire confiance à un habitant : « Comme s’ils étaient déjà là il y a 3000 ans ! Mais ils ne trouvent rien. » Voire.

 

Terrorisme : équivalences et omissions

Le député Yehouda Glick, lui-même survivant d’une tentative d’assassinat en raison de ses idées, montre comment un terroriste palestinien a assassiné une femme sous les yeux de ses enfants. Le terrorisme palestinien est bien reconnu, ce qui est au crédit du reportage. Mais tout de suite après vient un passage expliquant que « les villes palestiniennes situées proches des colonies subissent elles aussi des attaques » : une mise en équivalence qui insinue qu’il existe des terroristes juifs en nombre, en miroir des Palestiniens. L’illustration est fournie par le médiatisé assassinat d’Ali Dawabshe, un bébé « assassiné par des colons extrémistes ». Lesdits « colons » sont bien des extrémistes : ils ont été condamnés comme tels par la justice israélienne; tout comme les Juifs extrémistes qui ont symboliquement poignardé la photo du petit Ali lors d’un mariage : la justice israélienne a inculpé 13 personnes pour ces faits, mais l’émission ne le dit pas. Or si la justice israélienne poursuit les terroristes, juifs compris, l’Autorité palestinienne, elle, paie jusqu’à 300 millions (!) de dollars par an aux familles des terroristes palestiniens tués dans l’action. Un autre élément clé absent du reportage.

La couverture de l’affaire du soldat Elor Azaria, filmé par l’organisation B’Tselem en train d’achever un terroriste palestinien venant de commettre une attaque et en cours de jugement pour ces faits, est également tendancieuse. Les secondes précédant l’événement sont présentées ainsi :

A l’arrivée des secours, le soldat israélien, très légèrement blessé, est immédiatement pris en charge. Au sol, le Palestinien blessé agonise de longues minutes dans l’indifférence générale. Selon les conventions internationales, il devrait être soigné le premier.

On aurait aimé que le reportage dise quelle douteuse convention internationale préconise de soigner un terroriste avant sa victime. Surtout, l’affirmation suivante clôt le sujet :

Face à la pression de la rue, le gouvernement israélien a décidé de faire marche arrière. Quelques jours plus tard, contre l’avis de la hiérarchie militaire, le jeune soldat est autorisé à sortir de prison pour fêter en famille la Pâque juive.

On voit derrière ces commentaires le soldat accueilli par sa famille en liesse et on imagine que le soldat a donc été acquitté… Or le procès n’est pas terminé et, si le soldat a eu le droit de visiter sa famille lors de cette fête printanière, il attend son verdict en prison depuis mais le reportage ne permet pas de le comprendre.

 

Encerclement réalisé par bidouillage de carte

Suit une visite de Rawabi, ville sortie de terre grâce à un homme d’affaire palestinien soutenu par des fonds qataris.. Bernard de la Villardière s’envole :

Pas une colonie israélienne, mais une ville nouvelle palestinienne, la première construite depuis près de 1000 ans.

Une excellente occasion de rappeler qu’il y a 1000 ans, il n’y avait aucune chance pour qu’une ville palestinienne ne surgisse; en revanche, il y a 2000 ou 3000 ans fleurissaient dans la région des villes juives. Quelle incongruité d’appeler « colonies » les villes construites par un peuple présent depuis plusieurs millénaires, par opposition au vocable plein d’espoir de « ville nouvelle » réservé aux Palestiniens.

Une incroyable carte est ensuite présentée pour montrer que Rawabi est « encerclée » :

 

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Il n’y aurait donc en Cisjordanie que deux villes palestiniennes, Rawabi et Ramallah, et des dizaines de « colonies » israéliennes. On croirait une carte du village des irréductibles gaulois (vous savez, celui qui est cerné par les légions romaines… les mêmes qui ont conquis la Judée à l’époque et l’ont renommée « Palestine » pour effacer toute trace de la présence juive). Pourtant, voici selon Google Maps l’environnement de Rawabi :

 

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Hormis la petite implantation juive d’Ateret, citée dans l’émission, la totalité des villages entourant Rawabi sont des villages… arabes !

 

Le mur de « séparation » : occultation du but anti-terroriste

D’autres déformations de la réalité se produisent encore lorsque Bernard de la Villardière rend visite à un prêtre qui lui montre le « mur de séparation », prouvant selon le reportage que « le gouvernement israélien poursuit sa politique de colonisation des terres palestiniennes ». Le prêtre ajoute, victimaire, « Nous on doit mourir pour que les Israéliens vivent ».

Sauf que si le mur a été érigé pour séparer quelque chose, ce sont les terroristes arabes des victimes israéliennes qu’ils attaquaient en masse avant sa construction. De ce contexte, le reportage ne dit mot : c’est de la désinformation pure. Surtout quand le prêtre ajoute, sans commentaire de la narration : « En fait, l’objectif, c’est de confisquer de la terre ». Un tel commentaire, sans faire la moindre référence à la cause de la construction du mur – les vagues d’attentats commises par le passé en Israël par des Palestiniens – revient à charger Israël, qui se défend, d’être l’agresseur.

 

Trump pour conclure

Pour conclure l’émission, Bernard de la Villardière convoque Donald Trump : « Il faut espérer que Trump ne transforme pas ce conflit séculaire en nouvelle poudrière. » La responsabilité de Barack Obama dont le bilan est, lui, connu et qui n’a rien fait pour enrayer la vague d’attentats en cours depuis 2015 aurait pu être évoquée, mais c’est le moindre des griefs que nous ferons à cette émission.

 

InfoEquitable a écrit à M6

Tant d’erreurs dans une émission diffusée auprès de millions de téléspectateurs, cela engage la responsabilité de la chaîne.

InfoEquitable a écrit à M6 pour porter ces éléments à sa connaissance. En particulier, l’approche révisionniste de l’histoire, réécrivant les conflits de 1948 et 1967, est incontestablement fausse et inadmissible.

Nous publierons bien entendu toute réponse éventuelle de la chaîne.

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Auteur : © InfoEquitable. Si vous souhaitez reproduire cet article, merci de demander ici une autorisation écrite préalable.

Derniers commentaires
  • Excellente analyse , bravo pour votre equité

  • C’est monstrueux ces mensonges !!! ces médias se renseignent chez des menteurs antisioniste comme BONIFACE !!
    Pourtant il suffit de s’en tenir au TRAITE concernant le partage de la Palestine Antique entre JUIFS ET ARABES !! ISRAEL ( de la MER au JOURDAIN ) représente 25% de la Palestine Antique juive …. les arabes en ont eu 75% !!!! Les juifs ont été usurpé de 75% de leur TERRE ancestrale !!
    La Cisjordanie n’a jamais été à la JORDANIE , c’est la JUDEE SAMARIE depuis des millénaires et personne n’a le Droit de changer son appellation !!!
    Le Peuple palestinien ont été les juifs bien avant que l’ Islam fût inventé ! le « peuple palestinien arabe  » a été inventé par ARAFAT ; et le MONDE entier ( surtout l’ONU ) est tombé dans le panneau et a tourné le cerveau à tout un chacun !!!
    Il est grand TEMPS de remettre l’ HORLOGE à l’ heure !!!!

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