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L’intox électrique de B’Tselem

Souvent citée comme source par les médias pour parler d’Israël, B’tselem est une organisation qui porte toutes sortes de graves et fausses accusations contre ce pays : apartheid, crimes de guerre

Une mauvaise foi parfaitement illustrée par ce tweet :

 

 

Une étudiante en médecine à #Gaza étudie sous une lampe à LED. A quoi ressemble la vie sans électricité, à 90 mins de Tel-Aviv ?

 

Une lampe à LED sans électricité ? Vraiment ?

 

 

La vie sans électricité, ça ressemble à s’y méprendre à la vie avec électricité !

Le tweet renvoie sur un article qui blâme Israël pour les pénuries d’électricité de Gaza. L’étudiante aurait recours à un générateur de courant et à une lampe de poche lors des coupures. Mais la photo ne montre ni générateur, ni lampe de poche, mais bien une prise branchée sur le réseau.

Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y ait pas de pénurie à Gaza, mais elle ne touche pas tout le monde de la même manière : les dirigeants du Hamas ne manquent de rien et la construction d’armes – fusées, tunnels et désormais même drones – destinées à détruire l’Etat juif voisin est une industrie prioritaire et énergivore. La proximité avec Tel Aviv n’y est pour rien, bien au contraire !

D’ailleurs, les citoyens de Gaza ne s’en prennent pas à Israël… mais au Hamas et au Fatah dont les disputes au sujet de taxes sur le combustible importé ont contribué à la pénurie ! En effet, le Hamas au pouvoir à Gaza achète du diesel à Israël pour faire tourner sa centrale électrique, mais il accuse l’Autorité palestinienne, qui est chargée de coordonner les livraisons, de faire augmenter les prix par une imposition injuste. 10,000 Gazaouis sont descendus dans la rue en janvier dernier pour protester contre leurs autorités. Et sortir manifester dans une dictature, ce n’est pas rien !

 

 

New York Times : En manque d’électricité, 10,000 personnes manifestent à Gaza, défiant le Hamas

 

Le Hamas a dispersé la manifestation, brutalisant au passage des journalistes.

Quant à Israël, selon le New York Times qui n’est pas la source la plus pro-israélienne, il fournit 120 megawatts par jour à ce territoire qui est en guerre avec lui et vient d’ailleurs de porter à sa tête un dirigeant farouchement partisan de continuer dans ce sens; à comparer avec 30 megawatts fournis par le pays frère arabe, l’Egypte 10 fois plus peuplée qu’Israël, que personne ne critique et surtout pas B’Tselem… L’usine électrique de Gaza en produirait de son côté 60 grâce aux livraisons de diesel israélien. Les besoins estimés de Gaza (industrie d’armement comprise ?) sont estimés à plus de 400 megawatts (470 dit le New York Times), d’où la pénurie. De la part d’Israël, c’est quand même plutôt généreux comme traitement pour un ennemi dévoué à l’extermination de son fournisseur !

Mais l’organisation de « défense des droits de l’homme » préfère tweeter une image approximative plutôt que de reconnaître cette réalité… Reste à savoir comment de nombreux médias français peuvent faire confiance à B’Tselem qu’ils citent régulièrement comme source.

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Auteur : InfoEquitable

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Derniers commentaires
  • Il est grand temps que le gouvernement israélien mette en place une « réponse judiciaire » contre tous ceux qui le calomnient de l’intérieur.
    Lorsque des mensonges et des fausses accusations sont émises sans preuves, cela s’appelle de la « DIFFAMATION » que les tribunaux de toute la planète, punissent comme tel, il s’agit d’un délit puni par la Loi.

    Quant aux ONG du style Amnesty International, il est anormal que ses correspondants puissent faire leur sale boulot de calomniateurs en toute impunité, souvent à partir du territoire israélien, avec l’aide des « salauds de l’intérieur »; ras le bol de ces situations anormales.
    N’importe qui peut critiquer de façon honnête et sans excès, telle ou telle décision du gouvernement, mais déformer les faits, présenter Israël comme un tyrannie militaire qui martyrise des civils par pur sadisme, est insupportable.
    Si rien n’est fait pour mettre un terme ou atténuer les flots de haine qui se déversent sur Israël au quotidien, nous continuerons à lire et à entendre des ignominies sur l’armée la plus morale au monde, et à son gouvernement beaucoup plus démocratique que tous les pays qui le critiquent de façon obsessionnelle, Europe et France en tête.

    Il faut définir la ligne qui sépare la connerie de la liberté de dire et de diffuser n’importe quoi…

    • Ce n’est hélas pas de la connerie, mais de la haine antisémite pure. J’aimerais aussi une réponse judiciaire affirmée.
      Mais pour les antisiomites de l’extérieur, tout les coups sont permis et resteront impunis.

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