Elor Azaria, un jeune conscrit âgé de 19 ans lors des faits, a été reconnu coupable de meurtre au second degré au terme d’un long procès devant la justice militaire israélienne. Il lui est reproché d’avoir achevé d’une balle dans la tête l’un des deux terroristes palestiniens qui avaient quelques minutes plus tôt tenté de poignarder des soldats israéliens à Hébron. Le terroriste gisait au sol depuis plusieurs minutes après avoir été touché en riposte par des tirs de soldats. Le débat était de savoir s’il présentait encore un danger au moment des faits, ce qui aurait pu justifier le geste du soldat, ou s’il était désormais rendu inoffensif – auquel cas des règles d’engagement de l’armée requièrent d’utiliser une force minimale pour neutraliser une menace. La juge a penché pour la seconde possibilité en estimant que le soldat avait agi par vengeance.
Une chose est sûre : l’homme abattu n’était pas venu pour prendre un verre ou jouer aux cartes avec les soldats, mais pour les poignarder. Son but était de terroriser, blesser, et éventuellement tuer des Juifs.
En ce sens, les titres de l’AFP et de Reuters sont factuels mais incomplets :
Ces titres ne tiennent pas compte du contexte.
Il leur manque un mot : « un soldat reconnu coupable d’homicide sur un terroriste palestinien », voire, pour ces agences qui ont souvent du mal à reconnaître le terrorisme dans ce conflit, « sur un assaillant palestinien », aurait permis de comprendre qu’il ne s’agissait pas d’un meurtre prémédité sur un Palestinien choisi au hasard dans la rue mais d’une réaction, certes jugée excessive et condamnée par la cour israélienne, dans une situation tendue où la victime n’était pas innocente.
Sans ces précisions, de nombreux lecteurs qui s’arrêtent aux titres penseront à une armée israélienne brutale qui opprimerait les Palestiniens. Alors que c’est bien la seule, dans sa région en tout cas, qui ait un souci tel de la morale qu’elle puisse aller jusqu’à condamner un de ses propres soldats pour avoir usé de trop de force face à des ennemis.
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Image : capture d’écran Youtube – BBC
zoro / 5 janvier 2017
Ce procès n`est pas juste
Les attendus du tribunal sont faussés dès le départ.
1/ ce procès n`aurait pas dû tout avoir lieu, tout au plus arrêté dès le commencement apprêt qu`il ait été décidé sou la pression du ministre de la défense et du chef de l`armée qui ont dès les premiers instants condamné le soldat.
2/ le tribunal a pris en compte que les faits racontes par le soldat, il a perdu la tête sous le feu d`une action le dépassant, pris de peur par ses supérieure et des medias qui d`avance l`ont accusé de meurtre il a dit n`importe quoi et changé de version selon ce qu`il convenait pour sa défense.
j`expose ici pourquoi je dis que les attendus du tribunal ont étés faussés.
1/ ils ont étés vu que sur l`angle du tire directe à la tête du terroriste.
Je dis qu`il y a ici abus de confiance de la part du tribunal après qu`il apparait clairement que ce tire a été effectuer d`emblé sur un doute évidant et prouvé par les vidéos et les témoins. En effet, la version qui dit que le soldat a pensé que le terroriste n`était pas mort, ceci étant prouve par l`autopsie accepte par les juges, donc dans ce cas de figure, le DOUTE du danger présent qui a assailli le soldat était réel et tellement évident sur tous les points, (manteau en plein été pouvant cacher une bombe) Quand il y a doute sur un danger évident on doit agir pour éradiquer le doute d`une façon radicale c`est à dire tirer sans hésité. Si les juges avaient pris en compte ce côté du drame, le verdict aurait été différant. Les juges n`avaient pas à prendre en compte la malheureuse pensé sur la déclaration du soldat qui s`emblerait lui donner l`envie de se venger, celle-ci et à prendre en compte seulement sur l`état mental du soldat dans le feu de l`action qui n`a devant lui qu’une petite seconde et pas plus pour donner une réponse salvatrice a la vrai situation devant laquelle il se trouve, Devant ce doute réel comme expliqué, cette pensé n`a fait que l`aider à agir comme il le fallait. Imaginons un instant le contraire, le soldat n`aurait pas été là pour être jugé et d`autres avec lui.
Bien sûr et après coup, il a été facile aux juges manipulés par les medias tout au long du procès, de prendre à la lettre les déclarations du soldat, le juger selon les fait été enfantin.
Il faut rajouter a ce drame, que du fait que ce soldat a été envoyé en service par son officié sur un emplacement dangereux et devant lequel des faits de ce genre peuvent se passer à tout instant, il est à prendre en compte que le soldat peut faire des erreurs sur les consignes de tire ou autres comportements et que cette prise en charge le dédouane de toutes responsabilisées pénal. De ce fait, le soldat n`aurait pas du tout être jugé par un tribunal, mais plus justement comparaitre devant une commission d`éthique y compris ses supérieures, afin de répondre a toute ces questions de la manière la plus élémentaire.
Ce jugement doit être purement et simplement annuler !
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zoro / 5 janvier 2017
Le Monde
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Israël : Nétanyahou demande la grâce du soldat israélien qui a achevé un Palestinien gisant à terre
Cet article lu ce jour dans Google actualite en francais
Comme toujours les journalists on la geule de bois et la langue ecorche pour ecrire le mot « terroriste »
Oui ce mot est a rajouter dans l`annonce ci dessu, le soldat a acheve un terroriste palestinien.
les palestiniens qui n`ont rien a se reprocher ne sont pas tue, ils vivent meme tres bien et meurs de viellesse !
En esperant tromper les lecteurs, les medias foute la m…. en evitant d`ecrire leurs articles avec les vrais mots, ont-ils peur que les terroristes s`en prennent a eux ? ou sont-ils simplement des laches ?
Ce commentaire et aussi valable pout l`article ci dessu. -Reuters 4.01.17
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